Les gîtes d’étape
se situent en général dans des villages ou hameaux accessibles par la route même en hiver. Ils offrent à ce titre tous les services habituels et un confort honnête pour des prix raisonnables. C’est le mode d’hébergement le mieux adapté pour les randonneurs qui y trouveront une ambiance personnalisée et une clientèle homogène.
Les refuges d’altitude
sont pour la plupart gérés par la Fédération Française des Club Alpin Français (CAF). Inaccessibles en voiture, ils s’atteignent plus difficilement qu’en été et sont soit fermés, soit gardés à certaines périodes spécifiques (vacances scolaires, week-end).
En cas de fermeture, on peut se procurer les clés auprès des dépositaires des vallées (consulter le CAF de Nice-Mercantour) ou auprès de certaines sections du CAF (Nice, Cannes, Barcelonnette, Lyon, Paris).
Les hôtels ou auberges
sont présents dans la plupart des villages de montagne et stations de ski. Certains sont plus spécialement adaptés pour l’accueil des randonneurs, notamment dans les hameaux excentrés (par exemple : Estenc, Val Pelens, Le Boréon, Turini, Castérino).
Pour obtenir la liste exhaustive des hôtels de tourisme des Alpes-Maritimes, écrire au Comité régional du tourisme qui enverra le catalogue sur simple demande.
Les gîtes ruraux
supposent une durée minimale de séjour d’une semaine. Il s’agit de logements de type locatif et un choix assez large est offert au public dans chaque vallée, même si toutes les locations estivales ne sont pas équipées pour l’hiver.
Certains gîtes ruraux peuvent être loués pour le weekend (par exemple : chalet d’accueil du Boréon). Pour obtenir la liste exhaustive des gîtes ruraux, écrire à l’association des Gîtes de France (catalogue payant).